Remise des bulletins du 2ème trimestre
Rdv le jeudi 17 marsde 18h à 20h pour les classes de terminale et de seconde.
Rdv le mardi 29 mars de 18h à 20h pour les classes de première
Nous vous attendons nombreux!
Remise des bulletins du 2ème trimestre
Rdv le jeudi 17 marsde 18h à 20h pour les classes de terminale et de seconde.
Rdv le mardi 29 mars de 18h à 20h pour les classes de première
Nous vous attendons nombreux!
Rencontre des parents/professeurs pour la remise du bulletin du 2ème trimestre.
Rdv le jeudi 17 marsde 18h à 20h pour les classes de terminale et de seconde.
RDV le mardi 29 mars de 18h à 20h pour les classes de première
En avril 2020, les élèves de 216 ont participé au concours photographique lancé par l'académie de Créteil. Pour cette 16ème édition le thème « l'image dans l'image », les élèves n'ont pas manqué d'imagination pour répondre à ce thème particulièrement riche. Nous vous proposons de découvrir la démarche d'Asline et de Prisca, Salma, Moncef et Saïf-Din à travers leurs notes d'intentions et leurs travail sur l'image :
Note d'intention d'Asline :
Pour la photo cliquer : Ici
Note d'intention de Prisca, Salma, Moncef et de Saïf-Din :
Pour la photo cliquer : Ici
Le concours « jeunes reporters pour l'environnement » est un programme développé dans 34 pays à travers le monde, ce programme d’éducation aux médias et à l’information encourage les jeunes à devenir acteur du changement, dans l’esprit du journalisme de solutions. Dans le cadre de leurs reportages, ils donneront la parole à des acteurs de terrain et feront connaître des initiatives locales qui répondent concrètement aux enjeux climatiques, de biodiversité, consommation et production responsables, réduction des inégalités… |
Les élèves du lycée Paul Eluard ont participé pour la première fois à ce programme ambitieux au cours de l'édition 2020. Nous vous proposons de découvrir les reportage qui ont été présentés au jury français cette année.. En espérant que cette lecture vous permettra de découvrir, par l'intermédiaire de ces travaux d'élèves de TS1, des initiatives locales ambitieuses en faveur du développement durable … Bonne lecture !
Rien ne se perd, tout se transmorme | Oh ! Eau ! Ooho | Objectif zéro déchet ! | Le grand Paris, un projet durable | Fuire la misère pour la misère |
Dans le cadre de la 38ème édition de la fête de la musique, l'atelier musique du lycée via son partenaire Banlieues Bleues a été invité à jouer dans la cour de l'hotel de Matignon le 21 jiuin 2019.
Le élèves qui ont participés :
Vidéo du spectacle :
Cette année le projet en partenariat avec Banlieues Bleues et l'artiste Sylvain DANIEL s'articulait autour de la reprise de l'album mythique de Fela Kuti "Fela with Ginger Baker Live!".
Trois titres de l'album ont été repris :
En plus de ces trois reprises et pour conclure ce spectacle le titre de Stevie Wonder "Don't You Worry 'bout A Thing" a été interprété par les élèves.
Les artistes
Le 20 janvier se tenait un colloque organisé par l'AFAE, au lycée Hector Berlioz de Vincennes, dont le thème principal était les neurosciences et la neuroéducation.
Le colloque a débuté par l'intervention de Vincent Audebert1 ce dernier s'est attaché à montrer que les neurosciences étaient actuellement l'objet de nombreux débats notamment parce qu'elle donnait l'image d'une science prônant l'efficacité pédagogique à travers le développement de solutions protocolaires pour une situation ou un problème donné. Ces neurosciences sont aussi souvent utilisées pour justifier des méthodes manageriales ou des idées politiques. Ainsi, c'est bien sur la question de la place des neurosciences à l'école qui s'est posée et sur les liens que les neurosciences peuvent entretenir et construire.
Puis ce fut au tour de Grégoire Borst2 de nous présenter une vision des neurosciences qui tranche avec celle que nous avons l'habitude d'entendre. G. Borst a rappelé que les enseignants sont les spécialistes de la classe et que les chercheur en neurosciences sont ceux du cerveau. C'est ainsi que la classe ne devient plus le théatre de l'application des injonctions faites par les chercheurs en neurosciences mais plutôt le lieu ou les difficultés récurrentes peuvent être repérées puis remontées aux chercheurs. Cela permet aux neuroscientifiques d'alimenter leur recherche puis de proposer aux enseignants des explications sur la difficulté rencontrée. Ce dialogue permanent permet alors aux enseignants de développer des scénarios pédagogiques afin de remédier à ces difficultés, d'ou la nécessité de développer des partenariats durables.
Au cours de la deuxième partie de son intervention G. Borst s'est attaché à montrer les causes possible d'une erreur réalisée par nos élèves et a développé l'idée que l'apprentissage du raisonnement et de la créativié devaient s'appuyer sur la capacité des élèves à résister contre certaines réponses automatiques. Ainsi, la résistance à ces automatismes et la prise de conscience de de celles-ci seraient une des clés de l'apprentissage. Ainsi notre dynamique de raisonnement et de réflexion serait alimenté par un système de réponses automatiques (environ 90% des réponses) et un système logique de rationalité plus lent et fondé sur notre capacité à inhiber cette automatisation (dans 10% des cas). C'est pourquoi il peut être intéressant de travailler avec les élèves sur leurs capacités à repérer les réponses automatiques et à construire de nouveaux schémas de pensées permettant d'inhiber ces réponses automatiques dans certaines situations. G. Borst à également insisté sur le fait qu'il n'était pas question de proscrire totalement le système de réponses automatiques mais bien de prendre conscience de son existence afin de mesurer la qualité d'une réponse face à un problème et surtout pour surmonter un problème qui ne serait pas résolu immédiatement par ce système de pensées.
La présentation de Grégoire Borst est disponible en suivant ce lien : ici
Est aussi intervenue, Nicole Bouin, qui a été professeur d’Histoire-Géographie pendant 40 ans et qui est formatrice depuis 20 ans, membre de l’association 123dys et militante des Cahiers Pédagogiques.
Cette dernière a notamment insisté sur la nécessaire formation des enseignants aux neurosciences mais à condition que ces dernières soient au service du métier d'enseignant et d'éviter les dérives associées à ces neurosciences (neuromythes, ...). Mme Bouin a ensuite rappelé que les neurosciences avaient infirmé certaines idées reçues en montrant que l'apprentissage précoce d'une langue n'était pas un frein à l'apprentissage de la langue maternelle, que les taches complexes sont plus efficaces que des exercices sériés progressifs ou encore en montrant la grande efficacité pour la mémorisation de la réactivation en d'autres termes le « ça on l'a déjà vu ». Enfin, Mme Bouin a en réalité insisté pour une meilleure connaissance par les élèves de leur propre fonctionnement cognitif afin de favoriser leurs apprentissages.
1Vincent Audebert est IA-IPR de SVT dans l'académie de Créteil
2Grégoire Borst est professeur de psychologie du développement et de neurosciences de l'éducation à l'université Paris Descartes
Pour l’ultime jour à Florence, les élèves se sont rendus au marché de Florence lieu emblématique de la ville ou touristes et résidents affluent à l’heure du déjeuner. Puis l’après-midi a été un moment de de liberté pour nos élèves qui ont pu soit déambuler dans les rues de Florence à la recherche de souvenirs et de glaces ou des moments plus sérieux comme la visite du jardin de Boboli, la visite de l’église Sainte Marie et d’autres la ville ne manquant pas de musées et de lieux culturels !
Puis vint le moment de partir pour le train de 21h, mais comme si le destin s’évertuait à ne pas nous laisser quitter Florence nous sommes restés 45 minutes à Milan et nous avons mis plus de 12h pour rentrer … en bus !
Vous connaissez Scapin et Roméo ! Mais connaissez vous Platonov et Roberto Zucco ? Dans le cadre de l’option théâtre, vous découvrirez tous ces personnages et les jouerez même sans doute, sous l’œil attentif de comédiens professionnels. Vous assisterez à de nombreuses représentations, visiterez les coulisses du Théâtre Gérard Philippe (TGP) et réfléchirez à comment on crée un spectacle de A à Z. A travers les cours théoriques et pratiques, vous explorez les plaisirs du jeu et vous vous découvrirez autre le temps d’une représentation ! Par ces diverses options théâtre, vous apprendrez à jouer, à devenir un spectateur aguerri et à partir à la découverte de l’histoire du théâtre.
Les élèves en option théâtre auront la chance de pouvoir avoir cours dans un amphithéâtre et un auditorium équipé. Des intervenants professionnels du TGP seront présents tout au long de l’année auprès des élèves pour les accompagner dans cette aventure théâtrale ainsi que deux professeurs de théâtre.
Une fois inscrit au lycée Paul Eluard, un élève de seconde peut décider de prendre l’option facultative théâtre ou l’enseignement d’exploration théâtre.
• Trois heures de pratique artistique hebdomadaire animées conjointement par un professeur et un comédien du TGP. Chaque séance de pratique consiste en des exercices collectifs favorisant l’initiation aux diverses composantes du jeu (corps, voix, relation à soi et aux autres, maîtrise de l’espace, etc.) suivis soit d’improvisations travaillées, soit de répétitions autour d’un texte du répertoire classique ou contemporain. L’invention, l’imagination mais aussi la réflexion sont sollicitées et doivent s’incarner dans des propositions de plus en plus maîtrisées. Un « chantier » d’une partie des travaux effectués pourra être visible par un public choisi en fin d’année.
• Une école du spectateur : une dizaine de spectacles sera vue par les élèves de l’option, en soirée, qui donnera lieu à des travaux divers, écrits ou oraux. Ces spectacles feront découvrir aux élèves différentes écritures dramatiques, différents dispositifs, différentes esthétiques. Les écrits demandés auront pour but de construire un avis argumenté, mais viseront aussi à développer imagination et sensibilité.
• 2 heures de cours de théâtre : certaines heures de cours seront consacrées à aborder la pratique théâtrale, de l'échauffement à la répétition de saynettes, en passant par l'écriture de plateau. Cette pratique pourra éventuellement aboutir à des représentations en fin d'année.
• Se rendre au théâtre : au moins 4 sorties auront lieu dans l'année, pour voir des spectacles différents (danse, théâtre). Ces sorties se feront toujours accompagnées du professeur référent mais les élèves qui choisissent l'enseignement d'exploration « arts du spectacles » s'engagent formellement à se rendre à tous les spectacles. Ces sorties pourront avoir lieu à Saint-Denis ou à Paris. Elles donneront lieu à des analyses de mises en scène et à une réflexion sur les différences et la complémentarité entre les arts du spectacle. Il s'agira aussi d'appendre à faire des critiques de spectacles, en rencontrant des journalistes spécialisés dans ce domaine.
• Réfléchir à « l'envers du décor » : comprendre comment se monte un spectacle, c'est aussi prendre conscience de tous les métiers qui entrent en jeu (metteur en scène, costumier, ingénieur du son, régisseur de plateau, acteur, mais aussi toute la partie administrative comme le directeur du théâtre, les chargés de relation publique...). Nous visiterons donc les coulisses d'un théâtre et rencontrerons ces experts. Ce sera également l'occasion de s'interroger sur les études et les parcours qui mènent à ces métiers. Vous pourrez rendre compte de ces rencontres sous forme d'un blog, de reportages vidéo...
L’élève aura trois choix :
• arrêter l’enseignement du théâtre au lycée.
• continuer en option facultative théâtre : elle consiste en 3 heures hebdomadaires autour d’un texte, qui donnera lieu à une présentation en fin d’année. Les terminales pourront soutenir cette option, coefficient 2, au baccalauréat. Seuls les points au dessus de la moyenne seront pris en compte.
• S’inscrire en option de spécialité, en série L, et donc suivre 5 heures de théâtre hebdomadaires, réparties comme suit : 3 heures de pratique, 2 heures de théorie. Cette option prépare à deux épreuves du baccalauréat : une épreuve écrite (coefficient 3) et une épreuve pratique (coefficient 3).
Nota Bene : Faire du théâtre prépare également aux épreuves du baccalauréat de français en première, en particulier à travers l'objet d'étude « Le texte théâtral et sa représentation. »
• 3heures hebdomadaires, l’enseignement facultatif se caractérise par une pédagogie à dominante pratique et collective. La créativité de l’élève est favorisée. Une œuvre est abordée durant l’année, dont on montrera extraits ou totalité en fin d’année, devant un public choisi.
• 10 spectacles environ seront vus par les élèves de l’option, en soirée, qui donneront lieu à des travaux divers, écrits ou oraux, afin de leur permettre de découvrir différentes écritures dramatiques, différents dispositifs, différentes esthétiques. Ces écrits auront pour but de construire un avis argumenté, mais viseront aussi à développer imagination et sensibilité.
• Une épreuve au baccalauréat. Il s’agit d’une épreuve orale de 30 minutes d’interrogation et de 30 minutes de préparation à coefficient 2 avec un travail théâtral de plateau et un entretien qui prend appui sur le dossier de l’élève ainsi que sur une fiche pédagogique rédigée par le professeur.
Nota Bene : Les élèves peuvent s’inscrire en même temps à l’enseignement de spécialité L et à l’option facultative.
• 5 heures de théâtre hebdomadaires, l’enseignement de cette option se compose de 3 heures de pratique, 2 heures de théorie, et prépare à deux épreuves au baccalauréat : écrite (coef. 3) et pratique (coef. 3).
• En première, deux à trois chantiers, sur des textes de référence ou sur une création, sont mis en œuvre.
En terminale, il existe un programme limitatif de trois œuvres, revues régulièrement, sur lesquelles se basent la pratique artistique et la théorie. Une œuvre reste trois ans à l'affiche du programme. En 2017-2018, le programme limitatif est autour de ces 3 univers théâtraux : L’Illusions comiques d'Olivier Py, Britannicus de Racine et la figure de Figaro, un personnage de répertoire en verve et en musique. Pour consulter les textes officiels : ici
• Les élèves de l’option verront une quinzaine de spectacles - en soirée le plus souvent - qui donneront lieu à divers travaux, écrits ou oraux, permettant de découvrir différentes écritures dramatiques, différents dispositifs, différentes esthétiques. Ces écrits auront pour but de construire un avis argumenté, mais viseront aussi à développer imagination et sensibilité.
• Deux épreuves au baccalauréat : une épreuve orale, à coefficient 3, reposant sur la pratique artistique et le journal de bord élaboré tout au long de l’année par chaque élève. Une épreuve écrite de 3h30, à coefficient 3, proposant deux types de sujets : la réflexion dramaturgique à partir de documents (iconographiques ou autres), sur une partie d’une œuvre au programme (scénographie, rapport entre deux personnages, représentation d’un acte ou d’un personnage, etc.) ou bien la comparaison argumentée de photos de mises en scène différentes d’un moment d’une œuvre du programme limitatif, et le développement du parti-pris éclairé et personnel en faveur d’une des mises en scène. Pour plus d’information, consulter ce lien : http://eduscol.education.fr/theatre/pratiquer/options-theatre/les-epreuves-de-theatre-au-baccalaureat
Les Olympiades Nationales de la Chimie sont créées en 1984 en France à l’initiative du groupe Elf Aquitaine. L’objectif est d’intéresser davantage les élèves à la chimie pour que les meilleurs d’entre eux n’hésitent plus à s’orienter vers cette science au cours de leurs études supérieures ou à la prendre en compte de manière significative dans leur culture générale.
Le Comité National de la Chimie et l’Union des Industries Chimiques, avec le concours d’entreprises et organismes industriels, avec le soutien du Ministère de l’Éducation Nationale, du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, du Ministère de l’Agriculture et de la Pêche et du Ministère de l’Industrie, la participation de l’Union des Physiciens, de la Société Française de Chimie et de la Société de Chimie Industrielle ouvrent des concours régionaux suivis d’un concours national, l’ensemble portant le nom d’Olympiades de la Chimie, qui s’adressent à tous les élèves volontaires des classes Scientifiques et Technologiques des Lycées.
Monsieur Hébert, Inspecteur de Physique-Chimie, propose la même année au Lycée Paul Éluard de devenir centre de préparation ; une équipe de six professeurs fut aussitôt constituée et se mit rapidement au travail. Le Lycée Paul Éluard, centre de préparation très expérimenté de l’académie de Créteil, représente une pépinière pour les futurs olympiques dont la motivation ne cesse de croître au fil des années.
Parallèlement aux résultats flatteurs de nos élèves aux divers concours, on peut citer certaines réussites de cette action :
Lutte contre l’échec scolaire avec une approche différente de la chimie, encore plus expérimentale, encore plus tournée vers la vie quotidienne (des élèves réputés faibles ont obtenu ainsi des résultats très encourageants).
Chaque année le lycée propose aux lycéens de Terminale S et STL de participer à ce concours ambitieux.
Lycée Paul ELUARD
15-17 avenue Jean MOULIN
93200 SAINT-DENIS
Tél : 01 49 71 70 00
Fax : 01 49 40 03 09
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